Un album qu’on oublie vite !

Préparez-vous pour la collaboration la plus impromptue de l’année. En effet, deux ans après l’excellent 57 th & 9 th, Sting forme un duo avec le roi du dancehall Shaggy (je sais ce que tu te dis).

Produit par Sting lui-même, 44/876 propose 12 pièces dans une sorte d’hybride de reggae, de dancehall et de pop-rock plein de soleil.

Le drôle de duo semble vivre la bromance à travers ses influences musicales. Pour être franc, je préfère ne pas trop prendre ça au sérieux, sinon j’éclate de rire.

Dès l’annonce de son simple Dont Make Me Wait, j’ai eu un arrière-goût néfaste. La grande question : est-ce que le duo a réussi à me faire changer d’idée et me faire croire à cette fusion ? Malheureusement, le mélange des univers est plutôt assommant et banal.

J’ai dû mettre sur pause à plusieurs reprises pour souffler et pour tenter de comprendre mon côté sadomasochisme. Dieu merci, il y a quelques pièces sympathiques qui ensoleillent l’album, mais pas assez pour dire : « good job les gars ».

44/876, c’est un disque à ne prendre pas trop à cœur, sinon les nausées vont vous prendre assez vite. L’intention était bonne, mais svp, on efface, on recommence et on oublie cette mauvaise idée aussi vite que le fidget spinner, please.

Chansons coup de cœur :

  • Waiting For the Break of Day
  • Just One Lifetime




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