Deux ans après avec son album Le bruit des mots, Laurence Castera resurgit avec du nouveau matériel.
Voici Les hauts lieux : 11 pièces folk qui laissent des traces de mélancolies dans la peau et dans les artères du cœur et qui ont été réalisées par Simon Pedneault (Louis-Jean Cormier, Gabrielle Shonk, Lou-Adriane Cassidy).
La plume de l’artiste nous plonge dans un monde qui raconte l’homme et ses gestes impardonnables, ses remises en question, l’amour désabusé et le besoin de se stopper pour retrouver son souffle.
Castera pose sa voix graveleuse et déchirante sur des chansons de folk vibrantes et authentiques qui assument une part de noirceur dans ses arrangements plus rock et organiques que sa bande de musiciens et lui voulaient avec ce disque enregistré entièrement live en studio.
Avec P-E Beaudoin à la batterie, et Cédric Martel à la basse (qui travaille entre autres avec Hubert Lenoir), Castera nous raconte les vicissitudes de son cœur ; ça donne un mélange qui se situe entre Noah Gundersen et Ben Howard.
Laurence Castera livre un disque ambitieux à la hauteur de toutes attentes. Les hauts lieux, c’est du folk vertigineux d’émotion qui nous traverse le corps par son authenticité. Saisissant et éblouissant, rien de moins.
Chansons coup de cœur :
- Jouer le jeu
- L’élyme des sables
- Les haut lieux
- Déposer les armes
- Reviens
- La honte de l’homme
- Éclisses