Du rock sombre et anarchique

Frank Carter, le musicien rouquin tatoué, s’est fait découvrir comme « screamer » sur la scène punk britannique pour le groupe hardcore Gallows pendant 10 années.

Depuis, le succès retentit avec le second album Mordern Ruin de son projet Frank Carter & The Rattlesnakes qui tente d’innover dans son identité musicale sur son troisième album.

Voici End Of Suffering : 12 pièces dans un rock alternatif habile qui rappelle un mix entre Queens of The Stone Age et Arctic Monkeys ;

Carter délaisse sa voix hurlante dans ses précédentes œuvres non filtrées pour faire grandir des chansons lourdes et franches inspirées du bouddhiste, de la société brutale et de l’amour à cran, etc.

Frank Carter & The Rattlesnakes offre des hymnes de résistance au nom du rock’n’roll avec quelques clichés maladroits. Rien ne ralentit la bande qui nous bombarde d’une musique déterminée. End of Suffering, c’est du rock sombre et anarchique qui fait l’effet d’une bombe.

Chansons coup de cœur :

  • Anxiety
  • Crowbar
  • Heartbreaker
  • Love Games
  • Why a Butterfly Can’t Love a Spider




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