C’est une atmosphère de camaraderie que l’équipe des comédiens a affronté l’équipe des humoristes lors de la première Coupe TOHU disputée dans l’enceinte de la TOHU, le 2 décembre. C’est vraiment un duel sans merci que se sont livré les deux équipes. Pour preuve, les deux équipes ont terminé les deux périodes à égalité. Une prolongation, qui a donné les comédiens vainqueurs, a départagé le pointage final : 6 contre 7.
L’équipe des humoristes, dirigée par Benoît Chartier, a mis la table en offrant des prestations plus percutantes, plus rigolotes que leurs rivaux les comédiens. Évidemment, ces derniers n’avaient pas dit leur dernier mot et se sont rachetés par la suite. Car, au fur et à mesure que la partie avançait, l’écart des points entre les deux équipes se rétrécissait!
Durant les deux périodes, nous avons eu droit à de drôles improvisations. Prenons par exemple, en revenant de l’entracte, l’improvisation où un des membres de chaque équipe était suspendu dans les airs. Frédéric Barbusci était vraiment hilarant à voir courir et rebondir partout! Anaïs Favron ne donnait pas sa place non plus durait cette improvisation. Ce qui est bien, c’est que le public devait faire partie de cette improvisation en faisant un bruit quelconque comme une vache, une sirène de police, etc.
La septième improvisation était chantée. Nous avons pu admirer les talents vocaux de Frédéric Barbusci qui a poussé la note fortement et longuement pendant sa prestation! C’était assez impressionnant à voir et à entendre. D’autres moments ont été savoureux; si on pense à Virginie Fortin dans “Il ne reste personne”, avec un personnage à la voix hyper énervante! Laurent Paquin a été aussi amusant en imitant une personne amnésique qui répétait sans cesse la même phrase.
Trois étoiles du match ont été remises aux … Bleus. C’est Réal Bossé qui a obtenu le 3e place. L’excellente Ève Landry a terminé avec la 2e position. Et Frédéric Barusci, qui a brillé tout au long des deux périodes, a remporté la 1re étoile. Aucun des joueurs des rouges ont goûté à cet honneur! Snif, snif!
